Morena Piazza

Peu de gens le savent : les victimes de violences conjugales peuvent prétendre à un logement social d’urgence… si elles font leur demande dans les trois mois après avoir quitté leur domicile. Une règle qui peut paraître absurde pour certains et qui, d’ailleurs, pose beaucoup de problèmes. C’est contre cela que se bat Soumia, 28 ans, depuis qu’elle a fui les violences domestiques.

C’est un incroyable témoignage que nous livre Laëtitia, à la recherche de sa famille depuis de nombreuses années. Née à Charleroi, elle n’avait qu’un an quand elle a été conduite à l’hôpital, avant d’être adoptée, 6 ans plus tard et de déménager en France avec sa famille adoptive.

Ce mardi 9 février, un événement particulier se tiendra en ligne : il s’agit du J500, organisé par Plan International, dans le cadre du projet « Safer Cities ». Des jeunes Espagnols et Belges participeront à un débat sur le harcèlement sexuel pour améliorer leur ville. Charleroi fait partie des trois villes sélectionnées en Belgique.

Le fameux réseau de « points-noeuds » est déjà bien étendu dans toute la Belgique… sauf en région carolo. Mais la Maison du Tourisme de Charleroi, la Province du Hainaut et l’échevin du Tourisme, Thomas Parmentier, comptent bien remédier à ce problème. Bientôt, le réseau s’étendra chez nous, pour le bonheur de tous les cyclistes !

Tout le monde s’en rappelle : l’emblématique avion de Gilly a été victime d’un violent incendie en novembre dernier. Aujourd’hui, des questions se posent sur l’avenir du site. L’avion doit être évidemment enlevé et un projet de logements était sur la table. Malheureusement, celui-ci a été refusé fin 2020.

On le sait, les métiers de contacts ne peuvent plus exercer pour le moment, qualifiés de « non-essentiels ». On parle des coiffeurs ou esthéticiennes, mais les tatoueurs sont, eux aussi, placés dans cette catégorie. La situation n’est pas simple mais pour beaucoup, dans le secteur, la fermeture forcée reste incompréhensible.

Adeline, 32 ans, n’a pas toujours été femme. Pendant 29 longues années, la jeune femme, originaire d’Ham-sur-Heure/Nalinnes, s’est posé beaucoup de questions sur elle-même. Elle témoigne aujourd’hui, expliquant son parcours, pour montrer que rien est impossible et espère redonner de l’espoir aux personnes qui vivent la même chose.

Sept classes de l’école fondamentale communale des Coquelicots de Goutroux sont actuellement en quarantaine : une centaine d’élèves est considérée à haut risque. En cause : un professeur de gymnastique intérimaire qui n’a pas porté son masque durant ses cours. Une enquête à son encontre va être effectuée.