Loïc Dévière

On l’évoquait voici quelques jours dans nos colonnes : la salle principale du centre culturel de Mont-sur-Marchienne restera portes closes durant plusieurs mois, suite à un rapport des pompiers défavorable. Pour ses occupants, c’est une catastrophe.

En 2022, la police carolo relève environ 50 infractions chaque jour, ce qui marque une nette augmentation par rapport aux années précédentes. Les places destinées aux personnes à mobilité réduite font notamment l’objet d’une attention particulière.

Les riverains du quartier des Haies à Mont-sur-Marchienne s’inquiètent d’une nouvelle demande de permis pour 45 maisons unifamiliales, un Colruyt, etc. Ils se mobilisent avec de nombreuses actions, arguments à l’appui.

L’entreprise chargée de fournir le fameux dispositif est en train d’être sélectionnée, alors que toutes les démarches légales s’effectuent aussi parallèlement.

Solutions à mettre en place dans les grandes villes, travail du gouvernement sur la police ou le nucléaire, avenir du parti… Le président du MR et son dernier rival s’expriment ensemble sur les sujets chauds et enterrent la hache de guerre.

Les autorités communales ont émis de nouvelles règles pour le chauffage cet hiver, vu la crise énergétique. Mais la norme pour les salles de sport peut paraître très basse…

En cette période difficile, chacun est à la recherche de conseils, de bonnes pratiques à mettre en application pour économiser le gaz et l’électricité, voire le mazout. Du côté de l’école du Phénix à Dampremy, on a déjà réussi ce pari…

Le conseiller communal MR Nicolas Tzanetatos dénonce ce qu’il considère comme une dépense folle par les temps qui courent : « Si un père ou une mère de famille gérait son argent ainsi, il ne saurait pas payer ses factures… »

Les marchés publics pour désigner les entreprises chargées de réaliser les travaux ont enfin été lancés. Pour ces deux établissements, en tout, ce ne sont pas moins de 7 millions d’euros qui sont budgétés !

Les maisons de détention sont des structures plus petites que les prisons, avec un accompagnement individualisé des personnes incarcérées en vue d’une meilleure réinsertion. La Ville de Charleroi s’est portée candidate pour en abriter une à l’avenir.

La démission d’une seule personne au sein du bureau d’études de la Ville de Charleroi débouche sur des conséquences inattendues. Une série de tâches ont dû être externalisées, avec un surcoût sérieux pour les finances communales !