
Philippe Montanier ne craint pas le prochain match du Standard contre Saint-Trond: «Ma situation est très facile à gérer»
Le Standard disputera un match important, le dernier de l’année 2020, samedi (20h45) à Sclessin face à Saint-Trond.
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Journaliste spécialiste du Standard de Liège
didier.schyns@sudinfo.be
Le Standard disputera un match important, le dernier de l’année 2020, samedi (20h45) à Sclessin face à Saint-Trond.
À défaut de pouvoir briller sur les terrains de football, Mehdi Carcela le fait ailleurs. Vendredi dernier, il a gâté de nombreux enfants hospitalisés pour des pathologies lourdes à l’hôpital du MontLégia. C’est sa douzième visite annuelle.
Les supporters lancent un coup de gueule après sept rencontres de rang sans succès pour les Rouches.
L’avenir de l’entraîneur français au Standard ne tient plus qu’à un fil et une victoire samedi contre Saint-Trond pourrait ne pas suffire à sauver sa tête...s’il est encore à Sclessin d’ici là.
Le Standard, vaincu par Mouscron, est en panne sèche. La pression s’intensifie autour de Philippe Montanier, qui ne parvient pas à trouver les solutions.
Le Standard n’a pas le choix : il devra battre Mouscron dimanche. Et donc marquer, ce qui n’a rien de simple cette saison. Jusqu’ici, Philippe Montanier a aligné, en 17 matches de championnat, 16 combinaisons offensives différentes.
Depuis Turin, Mergim Vojovda préface le duel qui, dimanche à Sclessin, opposera le Standard à Mouscron, ses deux anciens clubs avant son arrivée dans le Calcio.
Les Rouches sont dans une période très compliquée, ne parvenant plus à goûter à la victoire depuis plus d’un mois.
Le Standard, qui reste sur un 8 sur 24 en championnat, est au pied du mur. Il devra profiter de ses trois dernières sorties de l’année 2020 pour inverser la tendance. Première étape, Courtrai.
Antwerp - FC Bruges. Ce sera dimanche l’affiche de la 16e journée de championnat. Eelle opposera les deux derniers clubs belges encore qualifiés sur la scène européenne, mais aussi entre des rivaux historiques du Nord du pays.
Grand architecte du retour de l’Antwerp au sommet du football belge, Lucien D’Onofrio en est à sa quatrième saison à Deurne. Quatre ans d’une très rapide reconstruction pour faire du matricule 1, dont le blason orne la loge présidentielle implantée au cœur de la tribune principale, l’un des clubs les mieux armés du pays. Mais de nombreuses rumeurs font état d’un retour du directeur sportif en terres liégeoises…
C’est un moment qu’il attend avec une impatience non dissimulée : dimanche, Nicolas Raskin reviendra pour la première fois à Gand, où il a connu, très jeune, des moments de douce euphorie, mais aussi de grande solitude et de déprime.