Ces nouveaux décès font monter le nombre de morts à 600 depuis l’offensive israélienne. Pour Jens Laerke, un des membres du bureau d’aide des Nations Unies à Genève, « il n’y a plus aucun endroit sûr pour les Palestiniens à Gaza ». Le nombre de morts devrait encore grandir. Mais ce n’est pas tout, selon Juliette Touma, un des coordinatrices de l’UNICEF, « un tiers des civils qui trouvent la mort ont moins de 18 ans ».
Depuis le 8 juillet, 121 enfants ont été officiellement reconnus dans les décombres des nombreux bâtiments touchés par les roquettes israéliennes.