Elles sont partout. Infiniment petites, invisibles, elles ont envahi le monde, dans le secteur pharmaceutique ou dans celui de l’automobile, dans nos cosmétiques, nos emballages et même notre alimentation… Les nanoparticules sont une technologie d’avenir, oui, mais non dénuée de risque. Le laboratoire de l’ISSeP à Colfontaine vient de se doter d’un équipement de pointe, unique en Wallonie, pour tester leur caractère inflammable et explosif.
Le « labo nano » de l’ISSeP (institut scientifique de service public) à Colfontaine a été inauguré ce vendredi, en présence du ministre Carlo Di Antonio. Il permettra de tester la dangerosité des nanoparticules (mesurant moins de 100 nanomètres, autrement dit : moins d’un dix-millième de millimètre) et des nanomatériaux et en particulier, leur inflammabilité et leur explosivité.
Tiécoura Sinaba en est le responsable. Il explique dans LA PROVINCE quels risques peuvent présenter ces particules infiniment petites désormais présentes partout dans notre environnement, et comment elles seront testées à Colfontaine.
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Explosions contrôlées au «labo nano» à Colfontaine
Par Corinne Toubeau
Journaliste
LA MEUSE Liège |
Elles sont partout. Infiniment petites, invisibles, elles ont envahi le monde, dans le secteur pharmaceutique ou dans celui de l’automobile, dans nos cosmétiques, nos emballages et même notre alimentation... Les nanoparticules sont une technologie d’avenir, oui, mais non dénuée de risque. Le laboratoire de l’ISSeP à Colfontaine vient de se doter d’un équipement de pointe, unique en Wallonie, pour tester leur caractère inflammable et explosif.