«Des valeurs comme la beauté physique, la santé, quand elles deviennent des idoles auxquelles il faut tout sacrifier sont des réalités qui confondent l’esprit et le cœur», a-t-il ajouté lors de son audience hebdomadaire au Vatican.
«Au lieu de favoriser la vie, elles conduisent à la mort», a insisté le pontife argentin en condamnant aussi «le pouvoir, le succès, la vanité avec leurs illusions d’éternité et de toute puissance».
Comme ses prédécesseurs, le pape François, fidèle à la doctrine de l’Église catholique, est un farouche opposant à l’avortement.
Dans le cadre du jubilé de la Miséricorde l’année dernière, il a cependant fait un pas en direction des femmes regrettant leur geste, en permettant à tous les prêtres d’absoudre l’avortement, alors que seuls les évêques avaient auparavant cette autorité.