Honnêtement, on a dû me rappeler qu’il y avait 100.000 euros à gagner au terme de la compétition. J’avais complètement zappé, ça résume mon état d’esprit. C’est Max qui fait le buzz et tant mieux. On verra si les choses changent. Moi, je suis très bien loin des caméras. Je n’ai pas demandé à faire « Top Chef », j’ai juste voulu gagner un pari et je suis tombé dans cette énorme production où tu as l’impression de tourner « Titanic 2 » avec une journaliste à côté de toi en permanence pour te poser 36.000 questions.
Ça vous pesait ?
Au début, c’était lourd. Je me suis engueulé avec des journalistes. Du coup, la prod m’a mis la même journaliste sur 95 % des épreuves. On avait une bonne relation. Je me suis quand même fait gentiment réprimander par le réalisateur qui m’a demandé d’être plus sympathique avec ses équipes qui ne faisaient que leur métier.
Michel Sarran, c’est un bon coach ?
Au départ, j’avais envie d’aller chez Phillipe Etchebest. C’est quelqu’un qui te pousse. Au final, je suis bien content de ne pas être tombé dans l’équipe d’Etchebest.