Pas moins de 60 métiers différents sont proposés aux jeunes. «Dans nos statistiques, on remarque que 75% des personnes qui suivent une formation en alternance sont des hommes. Il faut faire un effort de sensibilisation auprès des filles. Les métiers du métal par exemple ne sont pas très prisés par les dames, pourtant, grâce aux machines et aux nouvelles technologies, ces métiers ne sont plus forcément physiques», explique Patrick Bonni, directeur de l’IAWM.
Ces deux semaines d’initiation, qui remportent un franc succès auprès des jeunes, sont aussi importantes pour les entreprises en recherche de main d’oeuvre qualifiée. «Si en Communauté germanophone on constate que le chômage des jeunes avoisine les 12% et se situe en dessous de la moyenne belge, c’est en partie grâce au système développé en matière de formation en alternance», estime le ministre.