Pour Marc Van Ranst, le nouveau variant n’est pas forcément une mauvaise chose


Selon le virologue, les virus n’évoluent généralement pas dans le sens d’une plus grande pathogénicité, c’est-à-dire à rendre plus malade, mais d’une plus grande transmissibilité. « S’il était moins pathogène, la plus grande infectivité (que l’Omicron permet de remplacer le Delta) serait en fait très positive », a-t-il écrit aujourd’hui sur Twitter. « C’est pourquoi nous devons suivre de près les données cliniques des patients atteints d’Omicron (en Afrique du Sud et dans le monde). »