Ne pas ouvrir le 31 décembre est un véritable coup dur pour les patrons des boîtes de nuit namuroise: «Rouvrir, on n’y croit pas avant septembre 2021»


Lors de la Saint-Sylvestre, nos boîtes de nuit sont bondées. Mais cette année, la crise sanitaire en a décidé autrement. Et pour les patrons de nos discothèques namuroises, c’est un véritable coup dur. Car le 31 décembre représente la soirée avec le chiffre d’affaires le plus important.
Le patron de l’Infinity Hall à Naninne, Michaël Maboulle, explique les difficultés de son secteur : « Cela fait depuis le 8 mars que nous sommes fermés. Nous sommes vraiment abandonnés par le Ministre de l’Économie. Mais il oublie que nous avons des charges importantes. Malgré la fermeture, je dois encore payer entre 10.000 et 15.000 euros pour mes frais fixes par mois. Et, sur ces 10 mois écoulés, nous n’avons reçu qu’une aide de 12.500 euros », calcule-t-il.
► La soirée du nouvel an est en général la meilleure de l’année : « Le 31 décembre, nous accueillons 1.000 personnes. »
► Il garde le moral en pensant à la réouverture : « Je serai bien ouvert quand cela sera autorisé. »
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