Le voile levé sur le meurtre de Sarah E., 48 ans, décédée à Schaerbeek : une injection de morphine surdosée en cause
La victime est décédée à Schaerbeek après avoir reçu une injection de morphine et d’autres substances médicamenteuses. Elle avait couché sur papier sa décision de mettre fin à ses jours. L’infirmier qui lui a injecté les produits, Patrick T., 61 ans, est accusé de meurtre.
« L’examen systématique des différentes régions corporelles a révélé l’existence de deux traces d’injections intravasculaires récentes ».
► Les experts ont rendu leur verdict.
► « Le délai de survie après les injections a dû être d’une heure au maximum, sans réelle souffrance. »