Sandrine Dans lance la 13e saison de «L’amour est dans le pré» ce dimanche sur RTL: «Un fermier m’a invitée»


Sandrine, c’est la 13e édition de « L’amour est dans le pré », vous n’êtes pas superstitieuse ?
Pour moi, le nombre 13 n’a pas de connotation négative. Et je le sens bien ce nombre-là.
Vous avez tourné les portraits qu’on verra ce dimanche sous des températures très contrastées, vous serez en T-shirt ou en doudoune, c’est selon !
C’est le climat d’ici. On a tourné avant Pâques. La première semaine, il faisait 25º, on a profité d’un grand soleil. Après le break du week-end, on a eu de la neige dans la province de Luxembourg. J’ai revêtu plus de couches la 2e semaine mais pour moi, ça ne change pas grand-chose.
Avez-vous changé un peu votre façon de présenter ?
Non, c’est ma 10e saison à la présentation, je suis la Sandrine de la radio et des autres émissions, j’ai toujours voulu être moi-même sans artifices.
Avez-vous déjà eu de grosses difficultés avec un fermier participant ?
Non, je ne me souviens pas d’une fois où ça a été particulièrement difficile. On ne les force pas à participer et, en général, ils sont toujours plutôt contents de nous voir débarquer dans leur ferme. Bien sûr, il y a des timides et des bavards, mais c’est ce qui fait le charme de l’émission, d’avoir des personnalités très différentes. En ce qui me concerne, je m’attache aussi bien à un timide qu’à un grand taquin très à l’aise.
On doit ramer pour en faire parler certains, non ?
Le silence n’est pas dérangeant en télé, contrairement à la radio. S’il n’y a pas les mots, il y a toujours l’expression du visage, le mouvement des mains… Bien sûr, parfois, il y a un petit blocage au début, le fermier a peur de dire des bêtises, c’est peut-être d’ailleurs davantage une crainte des hommes que des femmes, ça...
On dit que vous êtes tombé sur un agriculteur très bavard. Vrai ?
Oui, et il le reconnaît lui-même. Mais c’est aussi quelqu’un qui connaît plein de choses et qui cuisine super-bien. Il m’a fait à manger, il s’est occupé de tout. C’était une recette assez spéciale puisqu’il a cuit le repas au four, fumé avec du foin ! Et la dégustation, c’était bucolique. Je n’en dirai pas plus, si ce n’est qu’il n’avait plus mangé en tête à tête avec quelqu’un depuis 2 ans et demi. c’est révélateur de la solitude de certains, qui s’est encore accrue en temps de Covid !
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