Un Liégeois harcèle et menace sa compagne: le tribunal lui laisse une chance


Les faits se sont déroulés entre juillet 2021 et mai 2022. Le prévenu et la victime ont eu une relation sexuelle sans lendemain de laquelle est né un enfant. La jeune femme a mis fin à la relation mais le prévenu a procédé à une analyse ADN pour confirmer sa paternité et a ensuite exigé de décider du prénom de l’enfant et que celui-ci porte son nom.
Porte défoncée
Pour imposer ses demandes, le prévenu a ensuite commis différents faits de harcèlement. Il a également défoncé la porte du domicile de la victime et proféré des menaces de mort à plusieurs reprises.
L’homme a été condamné pour les faits mais le tribunal a prononcé une peine de probation autonome d’une durée de 2 ans. En cas d’inexécution, le prévenu écoppera d’une peine de 20 mois de prison.