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«Pour trouver une solution, j’ai dû penser à James Bond»: une plaque digne du cinéma pour ce député N-VA, pourtant fortement déconseillée par VIAS car interdite pour les citoyens… (vidéo)

Le député anversois Michael Freilich (N-VA) a dû redoubler d’ingéniosité pour trouver une solution à son problème de plaque P.
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La plaque d’immatriculation des parlementaires est reconnaissable puisqu’elle commence par la lettre P et est suivie d’un chiffre. Une plaque que le député anversois Michael Freilich (N-VA) ne trouve pas appropriée quand il utilise son véhicule à des fins privées, rapporte le Nieuwsblad.

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Il a donc récemment « pimpé » sa voiture avec une plaque d’immatriculation rotative. Grâce à ce système, il lui est possible de passer d’une plaque à une autre, en fonction de l’usage qu’il fait de sa voiture.

« Je ne pense pas que je devrais utiliser ma plaque P pour des affaires privées. Cette plaque est assortie d’une certaine responsabilité et est utile, par exemple, pour monter dans un convoi lors d’une visite ministérielle. Je ne pense pas qu’il soit approprié d’emmener les enfants au football ou de le conduire en vacances », a-t-il déclaré. « Pour trouver solution, j’ai dû penser à James Bond et à sa plaque d’immatriculation rotative. »

D’après Vias, ce système est fortement déconseillé pour les citoyens, qui n’ont pas, comme les parlementaires, deux plaques d’immatriculation valides, et « en aucun cas à utiliser sur la voie publique ». D’après l’article 62 bis du code de la route, « il est interdit de posséder un système qui peut rendre les contrôles ou la détermination des violations plus difficiles ou empêcher », rappelle Stef Willems, porte-parole.

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