Nouveau staff, arrivée en Belgique, contrat jusqu’en 2024…: les coulisses de l’arrivée de Domenico Tedesco à la tête des Diables rouges
La Task Force a clôturé ses travaux en mandatant le CEO Peter Bossaert pour approfondir les négociations avec Domenico Tedesco. Tout concorde pour que le dossier se finalise et que le contrat soit signé en début de semaine prochaine.
Par Frédéric Larsimont
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À l’issue de quatre semaines d’épluchage des candidatures parvenues au siège de l’Union belge, il ne restait finalement sur la table qu’un plan A et, au cas où, un plan B. L’Italo-Allemand Domenico Tedesco et le Néerlandais Peter Bosz étaient donc les seuls en lice pour la succession de Roberto Martinez, non prolongé à l’issue de l’élimination catastrophique au premier tour du Mondial 2022.
Comme nous vous le révélions, l’ancien entraîneur du RB Leipzig partait avec les faveurs du pronostic. À l’arrivée, il ne semble pas y avoir eu photo puisque le candidat nº1 est en train de franchir la ligne avec plusieurs longueurs d’avance sur le candidat 1bis.
Selon nos informations, Peter Bossaert et Domenico Tedesco sont en effet parvenus à s'entendre sur les grandes lignes d’un accord. Mais pas encore sur les modalités exactes et encore moins sur les chiffres des émoluments qui devraient tourner, selon les estimations internes autour du million plus les primes. Mais pas question, comme le souhaitaient visiblement les quatre membres de la Task Force, de proposer au principal candidat, un contrat, jusqu’à l’échéance du Mondial 2026, organisé conjointement par le Canada, les États-Unis et le Mexique. « Engager la Fédération sur deux tournois constituerait une faute professionnelle, nous confie-t-on en haut lieu. Il faut aller jusqu’au prochain Euro et aviser ensuite. »