Voici pourquoi l’officialisation de Domenico Tedesco à la tête des Diables rouges traîne toujours
La signature du candidat nº1 à la succession de Roberto Martinez à la tête de l’équipe nationale se fait attendre. Le motif ? Une rupture de contrat à Leipzig qui, contrairement une rumeur relayée par la presse allemande, n’est pas du tout réglée.Belga
Par Frédéric Larsimont
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La révélation dans nos colonnes (voir nos éditions du 21 janvier) de la finalisation en cours des négociations entre Domenico Tedesco et l’Union belge, n’a pas fait que des heureux.
Au Centre national de Tubize tout d’abord, mais aussi du côté de la grande périphérie de Stuttgart où réside le futur sélectionneur de l’équipe nationale belge. En revanche dans les hautes sphères de la direction du RB Leipzig, on s’est immédiatement frotté les mains.
Oliver Mintzlaff, le président du Conseil de surveillance du club allemand, se retrouvait soudain dans une position de force inattendue, face à un interlocuteur désireux de retrouver un job. Il avait dans un premier temps promis à son ex-entraîneur, limogé le 7 septembre dernier mais vainqueur de la Coupe d’Allemagne quelques mois plus tôt, de ne pas contrecarrer ses futurs plans de carrière. Avant de se rétracter, semble-t-il. Du moins partiellement.