Vias fait le forcing pour le permis à points: «Il permet d’identifier la petite minorité de conducteurs qui commettent la grande majorité des excès de vitesse»
Les cortèges de carnaval vont battre leur plein. Il y a un an le drame de Strepy endeuillait la région du Centre. L’Institut Vias rappelle l’urgence d’introduire le permis à points.
Cet article est réservé à nos abonnés.
L’information de qualité et de proximité a un prix.
En vous abonnant, vous défendez l’indépendance et le rôle indispensable de la presse.
S’abonner, c’est nous soutenir.
Une voiture fonçant dans la foule assemblée pour fêter le carnaval à Strepy Bracquegnies ; six morts et des blessés par dizaines… En mars 2022, des voix s’élevaient pour dénoncer les fous du volant et exiger des actions.
Qu’en est-il un an plus tard ? « Il y avait un momentum après ce drame pour instaurer le permis à points en Belgique », estime Benoît Godart, porte-parole de l’Institut Vias. Pour le spécialiste de la sécurité routière, un tel permis permettrait de réduire considérablement le risque qu’un tel accident se reproduise.