A Braine, Maxime Daye critique l’essor anarchique des bornes pour autos électriques: «Chacun fait ça dans son coin»
Les projets de bornes pour recharger les véhicules électriques fleurissent un peu partout. Selon Maxime Daye, président de l’Union des Villes et des Communes, le besoin est urgent, mais les initiatives manquent de cohérence. BelgaV.M./Belga
Par Lore Thouvenin
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Ces derniers mois, les projets pour installer de nouvelles bornes pour recharger les véhicules électriques se multiplient dans le Centre : 5 à Écaussinnes, 12 à Soignies, 7 à Seneffe, mais aussi à La Louvière…
Et pour cause, plus aucun véhicule thermique ne pourra être vendu au-delà de 2035, décision de l’UE. Couplé à l’interdiction progressive de rouler avec les véhicules plus anciens partout en Belgique, tant les particuliers que les entreprises sont poussés à passer à l’électrique. Pour répondre à la demande actuelle et future, la Région wallonne souhaite implanter 6000 bornes sur tout son territoire.
Maxime Daye (MR), président de l’Union des Villes et des Communes de Wallonie, pointe cependant plusieurs problèmes, en prenant pour exemple la ville dont il est le bourgmestre, Braine-le-Comte. Deux projets sont dans les cartons, mais aucun n’a de garantie d’aboutir…
Maxime Daye, le bourgmestre de Braine-le-Comte, attend des clarifications. - M. Verpoorten
