Sophie Pendeville: «Si je veux bien manger, je vais chez les autres!»
L’animatrice propose chaque semaine une recette avec César, le candidat belge d’adoption de cette saison de « Top chef ».

Chaque année, vous faites l’émission avec le candidat belge de la saison en cours de « Top chef ». Sauf que César, même s’il travaille en Belgique, est en fait marseillais d’origine. Ça fait une différence ?
Non, ça ne change pas grand-chose. Ce qui est sympa avec « A la sauce belge », c’est de travailler chaque année avec un autre chef. Cette fois-ci, c’est plus axé sur la street food puisque c’est la spécialité de César. Mais de la street food un peu plus gastronomique, tout en restant accessible et surtout avec des produits belges.
Qu’est-ce que César a de belge en lui quand il cuisine ?
Il a clairement l’amour de la gastronomie belge. Il a réussi à mélanger ce qu’il a découvert chez nous avec ce qu’il connaissait. Il sait ce que nous, les Belges, nous aimons. Je ne pense pas qu’il retournera en France. Quand on s’établit en Belgique et qu’on rencontre les Belges, c’est compliqué de repartir ensuite.
Et comment est-il ?
C’est quelqu’un de super-sympa, très professionnel évidemment, mais il se laisse embarquer dans mes délires, même s’il est parfois exaspéré. (Rires.) On a bien rigolé ensemble. Et je le pousse dans ses retranchements pour découvrir sa personnalité et qui se cache réellement derrière le chef. C’est mon rôle dans chaque saison.
Et en plus, il est beau gosse…
Oui, il est pas mal. Je dois avouer que je n’ai pas à me plaindre depuis le début d’« A la sauce belge », entre Paul Delrez, Mallory Gabsi, Mathieu Vande Velde, Arnaud Delvenne et, cette année, César, je suis en bonne compagnie.
Vous essayez parfois de refaire les recettes à la maison ?
Non. Je n’ai pas vraiment l’occasion de faire des plats qui nécessitent quand même un minimum de temps. Moi, je fais à manger pour me nourrir. Si je veux bien manger, je vais chez les autres !
Vous n’êtes donc toujours pas convertie à la grande cuisine ?
Non. Je laisse ça aux passionnés. Je n’ai pas été élevée là-dedans. Ma mère m’a appris beaucoup de choses mais pas ça. Après, c’est vrai que j’ai fait beaucoup d’émissions culinaires avec pas mal de chefs différents. J’ai une autre sensibilité qu’hier par rapport à la gastronomie, mais de là à faire des grands plats, il ne faut pas rêver !
Et vous cuisinez quoi à la maison ?
Ça dépend des saisons. Là, en hiver, je fais des soupes. Et de la purée pour les enfants. Ça permet de tout faire manger en même temps, pommes de terre et légumes. C’est pratique. Mais j’ai quand même mon plat signature : un bœuf à la citronnelle. J’adore aussi préparer du chili con carne. Mais je ne cache pas que j’ai une machine qui m’aide beaucoup. Sans cet appareil, mes enfants mangeraient des tartines avec du lait tous les jours !
« A la sauce belge », 20 mars, 22h35, RTL-TVI.
A lire aussi

«Un crime parfait? Les polars de l’été»: Julie Denayer passe en mode estival sur RTL tvi

«La saison des feux»: Reese Witherspoon et Kerry Washington vont au clash!

«Abysses»: France 2 s’empare de l’urgence écologique avec un récit spectaculaire, fort et essentiel

Lily-Rose Depp dans «The Idol», la série qui fait scandale

Moins d’Alex Vizorek sur France Inter, malgré une pétition aux 150.000 signatures
