Un chauffeur De Lijn violemment agressé par deux passagers: il leur avait simplement fait une remarque quand ils sont montés dans son bus…


Quelque 60% des bus De Lijn en périphérie bruxelloise et dans la région Louvain-Malines ont pris leur service vendredi matin malgré l’action engagée par les syndicats ACV, ACOD et ACLVB pour exiger davantage de mesures contre les cas d’agression à l’encontre du personnel.
Mercredi, à Genk, un chauffeur de bus a été giflé après avoir fait une remarque sur un passager qui vapotait. Les chauffeurs de bus du Limbourg sont donc en grève depuis deux jours. La grève dans le Brabant flamand était, elle, annoncée depuis lundi. «Nous demandons des mesures supplémentaires depuis très longtemps», a déclaré Pieter Thys, secrétaire de l’ACV. «Il est urgent de faire quelque chose, l’incident de Genk le montre une fois de plus.
Les syndicats veulent davantage de postes de conduite fermés, un personnel de sécurité plus nombreux et mieux formé, ainsi qu’un meilleur soutien et une meilleure orientation pour les victimes d’agression. Des mesures plus strictes et plus fermes doivent également être prises à l’encontre des auteurs d’agressions, selon M. Thys.
À partir de demain/samedi, les bus De Lijn circuleront à nouveau selon l’horaire normal en Brabant flamand.
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