Thibaut Courtois et sa fiancée Mishel Gerzig se confient longuement à quelques semaines de leur mariage: «On a invité Florentino Pérez, on espère qu’il pourra venir!»

Après avoir brillamment défendu les cages de notre équipe nationale face à la Suède, Thibaut Courtois va faire l’impasse sur la joute amicale face à l’Allemagne prévue ce mardi soir en raison d’une gêne aux adducteurs. Ce qui n’empêche pas l’ancien du Racing Genk de faire parler de lui ce mardi, mais pour des raisons bien différentes.

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Le portier du Real Madrid a accepté d’accorder un grand entretien au Vanity Fair, en compagnie de sa fiancée, Mishel Gerzig. Les futurs époux en ont profité pour parler un peu de leur mariage, qui se tiendra en juin. « On a déjà la date, ce sera dans un lieu magnifique. Ce sera une cérémonie privée, drôle et romantique. Il y aura également pas mal de musique, car on adore danser sur du reggaeton. »

Vu son importance, cette cérémonie devrait réunir pas mal de beau monde. À commencer par Florentino Pérez, le président du club madrilène. « On l’a invité, on espère qu’il pourra venir ! Je m’entends très bien avec lui, j’aime beaucoup son style. Il est très proche des joueurs, et il ne manque jamais un seul de nos matches. Je n’avais jamais vu ça de la part d’un dirigeant, c’est vraiment un grand président. Quand il est en tribunes, il n’hésite jamais à aller parler à Mishel et à mes autres proches. Avant et après les matches, il vient également souvent nous parler. »

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Une relation de confiance qui conforte Thibaut Courtois dans son choix d’avoir rejoint le Real Madrid, il y a presque cinq ans d’ici. « En 2011, quand j’ai décidé de quitter Genk, de nombreuses personnes me conseillaient de rester en Belgique. Mais je savais que, pour grandir aussi bien sur le plan professionnel que privé, je devais partir à ce moment-là. Et c’était la meilleure décision de ma vie. Depuis, j’ai eu la chance de jouer dans de grands clubs, comme l’Atlético et Chelsea. Mais le Real Madrid reste le plus grand club au monde. Et je suis très heureux d’y être, même si c’est parfois compliqué de se promener anonymement dans les rues de Madrid… »